











Je suis retourné ensuite dans mon laboratoire. J’ai décidé de prendre le chemin inverse, ne faudrait-il pas prendre du métal déjà oxydé et venir le gratter, le poncer, le rayer et voir ce qu’il y a dessous ? Si je sérigraphie un silo sur une plaque l’acier, que je fais ensuite oxyder cette même plaque en y apposant une feuille préalablement humidifiée, obtiendrais-je un silo rouillé ? Et si je remplissais un jerrican avec de l’eau de pluie, que je faisais tomber une goutte d’eau toute les 10 secondes sur une petite plaque de métal dépourvue de rouille mais qui présente les mêmes caractéristiques physiques que le métal du silo ? Ou alors devrais-je peut-être recouvrir une photographie de silo par du maïs qui a préalablement trempé plusieurs heures dans un bain d’eau et d’oxyde de fer ?







